Comme il était de bon ton au XIXéme siècle, « flânons ! »
Mieux encore « Pensons avec nos pieds ! » comme le dit si bien Balzac des parisiens.
Regardons, imaginons cette époque délurée où les passages de Paris battaient leur plein.
De la galerie de Bois au Passage Jouffroy, promenons-nous avec Balzac et Zola sous le regard glacial de la Vénus de Bois et contons les histoires qui résonnent dans ces galeries pour réchauffer son corps de marbre, et qu’à la fin de notre promenade, elle ait trouvé son prince et découvert son cœur de chair.